Il n’est plus belles pensée, mon amour,
Que celles que je t’adresse,
Mon esprit frivole et léger
Peut faire de moi un papillon, une déesse,
Il n’en reste pas moins
Epris de toi !
C’est à la prunelle de tes yeux
Et aux élans de ton cœur que je carbure,
Tu es l’ami le plus délicieux,
Mon complice, que la vie soit belle ou dure !
Il n’est de plus belle présence
Et de meilleurs délices que ma vie avec toi,
Tu me sublimes à coup de lueur de confiance
Et je remercie Dieu de m’avoir mis la foi !
Des êtres aussi ouverts et libre que nous,
Je n’en ai vu aucun, je te l’avoue,
Que je connaisse aussi bien et qui me reconnaissent partout !
Ma plume t’encensera toujours
Aussi longtemps que je vivrai,
Tu resteras cet unique amour
Que mon cœur couvre de bienfaits.
Il n’est de rêve plus réels
Que mon bonheur de t’aimer,
Comme de puiser dans le virtuel
Tout ce dont tu me témoignes depuis des années.
Avoir le béguin, fantasmer,
Donne un souffle de plus à ce que je ressens,
Les désirs ont tôt fait de m’affamer
Quand ils reviennent infiniment !
Je suis curieuse d’explorer
Et de voir encore du monde,
De ce qu’il me plaira d’adorer
Ou bien de trouver immonde !
Tu résideras à mes côtés
Comme témoin et allié de mes folies,
Si tu me redemandais, mon amour,de te réépouser,
Je redirais OUI !
Notre mariage est mon jardin d’Eden
Où, à la différence d’Eve,
Je croque dans toutes les pommes,
Qu’importe pour moi d’être païenne
Aux yeux des dieux, des pères et des nonnes,
Puisque pour avancer nous tenons les même rennes !
Peu m’importe les jugements d’autrui,
Mon équilibre me donne à penser
Que l’amour dure toute une vie
Quand il a, comme nous, de bons sujets !
Pauley Perett le 22 novembre 2012