J'aime la douceur de tes lèvres sur mon ventre,
L'amour qui frissonne au souffle de ta bouche,
Ton baiser passionné, sauvage et tendre...
J'aime que tu m'embrasses, j'aime que tu me touches.
Je suis toujours ivre de ce moment,
Où, tes yeux dans les miens, tu lis dans mon âme,
Où tu m'habilles et me déshabilles en déchirant
Le auvent sur mes monts...ta came,
Ou tu n'entends plus rien que mon cœur battre
Aussi fort que tu entends mes soupirs. Quand on tient
Entre ses mains un morceau de septièmes ciel
En l’inhalant très fort, le sentir, le débattre,
Et jouir comme crever de tant se sentir bien,
Le réel, c'est même plus kiffant qu'un arc-en-ciel !
Se promettre la lune, ça sert à rien !
Quand on prend son pied à la même cadence,
On se prouve déjà beaucoup nos liens.
Tu ne danses pas mais aime quand je danse,
Ceci n'a rien à voir, je dis comme ça me vient
Avec passion j'use de moins d'élégance !
Et je t'allume quand bien même
Tu me connais par coeur, du moins c'est ce que tu penses.
J'aurai toujours le secret, la graine qui se sème,
Pour t'apporter le fruit inédit,
Afin qu'il soit ensorcelant, exquis,
Et qu'il t’appâte au point d'être presque en manque d'autres...
Oh oui, je t'aime,
Et je n'ai pas fini de le prouver !
oct 2013, Pauley Perett (pour toi mon amour)