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Cette nuit serait un peu humide et je voudrais me jeter à ton cou pour te réchauffer, sentir ton souffle et voir la fumée blanche sortir de ta bouche, tellement il ferait froid, tellement on aurait chaud !
Dans le Nord, il y fait beaucoup froid, mais les gens bien souvent qui y sont nous font pousser des fleurs à l’intérieur...
A Paris aussi, en Bretagne, voyager, même en pianotant c'est bien, on arrive à ressentir le frisson quand on lit «froid»
On se cherche des raisons de rester, se découvrir, toujours un peu plus jusqu’au frisson ; les frissons rendent beaux les mamelons... Le frisson nous envahit de vent frais et le coeur et son endurance met tout à la bonne température.
Retrouvons-nous où notre histoire nous emmène à une jouissance commune quelque soit la manière dont elle intervient, je veux t’achever et renaître autrement,
Pour ensuite t’aimer bien.
Pauley Perett
28 février 2012