Mon Top balaise

D'un petit coeur sur mon égo,
Il attise ma sensibilité sensuelle.
En quelques minutes, en quelques mots,
Il me voit douce, rebelle, encore plus belle !

Il séduit sans se rendre compte
En étant lui et plein d'autres
Et c'est sans tabou ni aucune honte
Que je l'embarque et l'escorte
Dans ma course folle
Vers la sensibilité et le charme,
Vers le rouge sang du diable et l'auréole
D'un ange...

Il a des yeux à tomber par terre,
Et, discret, il se pare de mes étincelles
Pour m'éblouir à la lueur de sa chandelle,
Il prend, dans la foulée ce qui m'éclaire.

Je le veux et il le sait !
Et comme tous hommes qui plaisent,
Se fait languir, se fait attendre, désirer.
Il est Muz'homme, mon top balaise !

Et je m'en vais rêver de lui
Pour me nourrir inspirée,
De ses doux mots, de ses envies
Pour le refaire, sur moi, transpirer.

Juin 2013

Kiss



"Je me fonds en lui, l'espace d'un instant savourant sa bouche tel un nectar divin"


Sa peau

Je veux sa peau sous mes mains
Qui caressent et qui pincent,
Sa peau, contre la mienne,
Contre ma joue, contre mes seins...

Sa douceur, sa peau,
Ses doigts qui se baladent,
Sa bouche qui me frôle
Et qui m'embrasse...

Mon âme lui criant "Caresse bien, caresse bien..."

Le souffle de plus en plus fort,
Sa peau, sa peau
Je la veux comme couverture,
Je la veux comme paréo,
Douce, tendre et dure...

Et puis ses mots,
Qui tente mon écriture
Et font transpirer notre duo...

Sa peau, sa peau,
Comme apaisante et électrique,
Comme sereine et énergique,
Du froid au chaud !

21 juin 2013


Juste envie...



"Il m'a envoyé des fleurs, elles ont fanées
Il m'a envoyé de l'eau et ma peau de l'air...
Je n'étais pas amoureuse, j'avais juste envie !" Pauley Perett

Je suis riche !

Je me mets du rêve partout, 
Dans le coeur, dans l'âme, 
Dans la bouche et sur les joues
Et quand je suis comme flamme
Chatoyante, rougeâtre, ingénue,
Réelle, virtuelle, sans fard, bienheureuse,
Le peu qui puisse me nourrir, nue,
C'est cette soif de fraîcheurs chaleureuses
Sous le voile des passions
Qui n'arrête pas de m'obséder...
Je suis riche, qu'on se le dise !
Cela même quand je me plains.


6 juin 2013, Pauley Perett

ELIXIR

Se laisser aller,
Se défaire des pressions,
Inhaler l'ivresse,
Souffler la passion !

User de tendresse,
Aimer sans relâche,
S'abreuver sans cesse :
De ce que l'on cache,

De ce que l'on dit,
De ce que l'on ressent,
Matin, soir, midi, minuit,
Se sentir patient et pressants...

J'aime être concrètement
La femme d'un seul homme,
J'aime être amoureusement
Sa muse, son idiome...

Séduire et peu importe
M'envoler parfois,
Revenir presque morte
Pour revivre mille fois !

Pauley Perett, juin 2013

Rouge ardent




♥ Même dans un cocon de coquelicot, le rouge passion sera toujours ardent lorsque je penserai à toi ♥ PP

REFLEXION

En même temps, c'est vrai, je ne serais pas amoureuse :
Je m'alimenterais de ses baisers,
De sa fougue vicieuse,
Je ferais pour cette aventure
Le convenu et l'immoral
Pour celui que cela choquerait, tant pis !
Je serais en tous lieux originale et authentique,
Même si c'est incroyable !

Pauley Perett, mai 2013

Rêves et fantasmes

Y'a pas que les histoires de rêves et de fantasmes dans mes histoires,
Y'a pas que du cul, de la baise, y'a aussi mes vraies victoires,
Je ne vous parlerai pas d'un arrosoir ou d'une chaise,
D'une pipe ou d'un tambour ni de malaise,
Pour l'heure, je me laisse porter et j'aime cette sensation
D'être celle de tout les jours et d'être moi, autrement...

L'aventure commence

Il est une fois nous deux
Dans ce monde de brouillard,
Complices, doux, respectueux,
Tu et je, jeu de miroir...

Je t'appartiens où la nuit m'inspire,
L'espace de souffles saccadés
Quand tu veux me goûter...
Et je te séduit, même pire !

T'emmener dans ma folie douce,
Laisser monter la chaleur en moi,
"J'aime" plus qu'un pouce
Quand je suis avec toi !

C'est neuf, mais vivre l'enfer avec toi,
Je veux bien... Tu dis que c'est brûlant,
Soit, allons jouer dans la cours de Satan !
Soyons riches de tout cela,

L'espace d'une heure, d'une nuit,
Qu'en sais-je ? Quand on a quarante ans,
C'est tout les jours notre anniversaire, oui !
Et comme tu résonnes, forcément,

Si l'énergie est fluide ce sera magique...

Pauley Perett le 25 mai 2013

Le Miroir de mes songes

Toujours par amour portée
Et sous l'aile de Cupidon,
Je m'en vais traverser maintenant
Le Miroir de mes songes...

Un diamant et deux éclats en plus,
De l'or et un bijou fantaisie...

Je m'en viens, inspirée encore,
Vous faire mordre dans de bons fruits juteux
A la table des délices sains et malsains confondus.

Aimez-moi, haïssez-moi,
Je serai toujours quelqu'un,
Une "scribouillarde*"
Au milieu des plus grands !

Pauley Perett le 31 mai 2013

(*secrétaire, écrivaine, poétesse (à votre convenance) ou que sais-je, je gratte sur du papier et m'enflamme sur un azerty)

Je n'aime pas les crétins

Ils peuvent de tout leur coeur
Me jouer les Cyrano,
Comprendre un quart de mon labeur
Où jouer les héros...

Ils peuvent jardiner
Mes fleurs préférés,
M'offrir et badiner,
M'appeler leur adorée...

Ils peuvent croire que je mords
A n'importe quels hameçons,
Si je ne suis pas séduite, au premier abord,
Ils rentreront bredouilles et cons !

Ils peuvent jouer de mielleux,
Me chanter des sérénades à deux balles,
Tricher, jouer les amoureux
Avec leur sincérité bancale,

Pas de feeling, rien qui passe...
Je n'aime pas les crétins !

Pauley Perett (mai 2013)

Un héros de passage

 
Photo Riko Poparto


Je garde à l'esprit son impatience,
Son envie d'en finir avant même de commencer,
Sa franchise, sa nature exubérante,
Sa folie pure invitant à valser !

Cette nature c'est de changer de saison,
Se transformer en monstre
Mais d'être gai luron !

Il a cette force aussi
De cacher ses sentiments
En jouant l'impoli
Quand il est prévenant,

Si discret, si respectueux...
Il dira le contraire
Comme un macho miteux
Mais il saura satisfaire

En osant ses fantasmes...
Quel que soit son ego
Il atteindra l'orgasme
Et s'en ira comme un héros.

Pauley Perett août 2012

LA MAISON DU MARQUISAT (Pastiche d'Elisa de Gainsbourg)



L'Marquisat, à Pont croix,
Avec toi je passe partout,
L'Marquisat, avec toi,
Avec toi, je joue de bagou,
Je fonce bien, je jongle,
Vodka et Téquila,
Je t'épingle dans le pieu d'organza,


L'Marquisat attisa,
Rosa mes joues de désirs fous,
L'Marquisat, avec toi,
Dans chaque pièce on chamboule tout,
Sur le sofa, la chaise,
Tu deviens très vicieux,
T'es à l'aise,
Tripotant,
Généreux.


L'Marquisat, à Pont croix,
En geïcha sur tes genoux,
Avec toi, l'Marquisat
C'est l'nirvana et les froufrous,
L’enivrant/La troublante
Au goût de chocolat,
Tu me tentes
Le con avec les doigts


L'Marquisat, à Pont croix,
Avec toi je passe partout,
L'Marquisat, avec toi,
Avec toi, je joue de bagou,
Je fonce bien, je jongle,
Vodka et Téquila,
Je t'épingle dans le pieu d'organza.

Pauley Perett le 16 mai 2013


Le corps d'athlète...

Y'a toujours ce corps d'athlète connecté
Qui avec moi joue à cache cache...
Ce mec si bien ou si peu habillé, genre,
Qui vous aime mais qu'on entache
Si par malheur on évoque son nom
Ou plutôt, je veux dire, son prénom !
Je ne suis pas amoureuse du premier venu,
Je suis seulement amoureuse du presque jamais vu
Du fantôme, de mon ange, de lui,
Celui qui m'a, dix ans, fait la sérénade
Avant de me dire OUI,

Celui qui à la promenade
Me ferai courir sous une averse,
Plutôt que de prendre un parapluie,
"I'm singin in the rain", finalement, j'aime bien !

Pauley Perett (2013)

Le temps d'un week-end

Le temps d’un week-end,
Tu as été à la hauteur de tes confidences,
Que cette nouvelle se répande !
Tu es et restera ma belle récompense,

Je te garderai dans mon cœur
Une place ensoleillée,
Quand renaîtront les ardeurs
De notre rêve éveillé !

Tu pourras toujours me retrouver ailleurs
Quand tu n’auras pas le moral,
Reprendre de nous le meilleur
De nos douceurs extrêmes ou animales.

Je remercie le ciel d’avoir croisé ta route
D’avoir reçu autant que j’ai donné…
Ne sois jamais à mon sujet dans le doute
Car quand je donne, je ne reprends jamais !

Bonne route mon Cupidon,
Tendresse et baisers !

Extrait de la nouvelle (Sous l'aile de Cupidon,Le temps d'un week-end)

Misterty


J'avance à l'aveugle
Et pourtant quand
J'te vois, j'ai le sang
Qui circule et me sangle
A vitesse supérieure.

T'es imprévisible
Et tes mille facettes,
Sans me prendre pour cible,
Sillonnent dans ma tête...

Le génie qui t'habite
M'emprisonne dans le noir...
Je soupire, tu m'excites,
Début de l'histoire ! ...

Pauley Perett (2013)

Je t'oublie...


Tu composes le sentiment
Plus fort que l'apparence,
O, Diable de mon élément !
Je veux me fondre par transparence

Pour te ramener à moi...
Il se peut que jamais
Tu ne reviennes jouer pour moi,
L'espoir est beau, discret

Et même sans tristesse,
Mais j'ose t'espérer,
Te charmer encore par délicatesse
Et quand tu viendras m'aimer,

Rompre le charme
De ce jour tant attendu !
La séduction désarme
Et met le coeur à nu...

Je t'ai aimé un peu trop
Pour ne pas t'avoir connu !
C'est tes mains sur le piano
Qui m'ont la première fois émues !

Je ne saurai te regarder autrement
Que comme un fantasme enivrant,
Je t'ai bien trop souvent idéalisé,
Comme une idole... Postérisé ;

Je me suis oublié aussi
Quand mon cœur s'est ouvert
Comme jovial, fleuri
A ta personne parfois cassante, austère !

Tu feras toujours mine
De n'attacher à moi aucune importance,
Ta vie je la devine,
Mon rêve je le vis, avec aisance...

Quand de ta tour d'ivoire
Tu ne me verras plus,
Tu feras jouer ta mémoire,
Tes rêves, mes ardeurs et ma vertu,

Tu auras besoin de tendresse
Et de jolies chansons,
Moi je payerai cette ivresse
En oubliant ton nom !

Pauley Perett le 6 novembre 2012

Fruits interdits


Ce soir, brûlant de mille feux,
Je te vois grandiose, je te veux,
Mes yeux languissant comme amoureux,
L'émoi au comble de l'apothéose.

Et je te cherche encore,
Dans d'autres souffles de vie
Où tu m'apprivoises et me dévore
Du corps jusqu'à l'esprit.

Tes fruits sont mes fruits interdits,
Qui, passant par mon âme
S'avèrent être bons, juteux, exquis,
Je savoure le plaisir jusqu'aux larmes...

Et je te sens, électrisant, passionné,
Mêlant mon coeur à se délire,
Ironisant l'art de me raisonner
Tant tout de toi m'attire !

Pauley Perett le 24 janvier 2013

Je me suis déjà imaginée...



Je me suis déjà imaginée

Dans un autre monde,
Aussi épanouie et riche, certes,
Mais où rien ne gronde,
Où la violence déserte

Prête à se fondre dans le bonheur
Durable et riche d'activités,
Beau, éblouissant de saveurs...
Je veux encore m'épater !

Mon âme débordante
Des secrets de mon coeur
Saura, très puissante,
Montrer mes ailleurs...

Quand je me sens rempli d'amour,
C'est à dire, sans médire, toujours !
Je suis portée par mes voix,
Celles dictant mes discours.

Tant de fois, quand je fus triste,
J'ai prié cette situation rêvée,
J'imagine pour faire une liste
Toujours cette voix passionnée

Qui m'incite à faire toujours d'un rêve
Ma réalité :

« Sois toujours heureuse »

Me dit-elle.

Pauley Perett le 30 septembre 2012

Rebelles


J'aime les rebelles parce que pour la plupart ils ont le plus tendre des coeurs, ils s'attachent et font mines désintéressées, mais ils sont doux à entendre, à voir et à toucher...

Beau ténébreux, tu me chavires !
A peine j'essuie mes joues que je te respire, à peine portes-tu un regard sur moi que je renais !

Tu es beau et à belle distance, tu me souffles des airs envoûtants.
Il faut que je te sente encore en sortant de mes nuits, comme grandi d'avoir touché le rêve de près...

L'imagination est féconde quand elle est exaltée...

Même dans tes poses les plus académiques, tes yeux me déshabillent,
Regarde un peu les miens comme ils brillent !

A l'heure où je te parle, il est minuit passé...
Je t'intrigue, c'est bien,
Moi, tu me fais planer...


1er mars 2013 Pauley Perett

Toi... (pour MB)


Il y a souvent toi
Qui pars et qui reviens,
Qui ne me vois plus, c'est certain...
Que je retiens !

Il y a toi dans plusieurs
De mes délires, c'est juste !
Et comme le font les arbustes
Ils résistent en temps, en heures...

Plient légèrement !

Il n'est pas de plus vrai
Que nature pour le trait
De ton entêtement !

Et je te parle dans le vide
Mais j'existe auprès de toi,
Même sans un son de voix !
Étranger, crée, reste limpide,

Je te suis tout discrètement...
Tu n'es que plus louable
Et plus honorable
Quand tu joues posément !

Je te laisse, mon pianiste,
J'ai besoin de sommeil,
De rêve, de soleil
Pour ma nuit pas si égoïste !

Pauley Perett le 25 juin 2012

Entre deux tours d'immeubles



Peut-être faut-il
que le soleil nous aveugle
Pour qu'un invisible fil,
Entre deux tours d'immeubles,

Nous paraisse un pont
A traverser sans regarder en bas !
Sur, qu'avec Cupidon,
Je n'irai jamais jusque là !

Je garderai cette image de lui
Qui m'a fait voyager
De fantasmes en visions/projections
Sur le mur d'à côté de mon lit.

Même les yeux grands ouverts,
Je fixais cet endroit d'où
Il me regardait dormir, ouvert.
Ouvert à ce délirant désir fou

Qui m'habillait en pécheresse
Aux moindres frissons sur la peau.
Je déborde d'insolence, de hardiesse,
Virtuelle, érotico :
Si, sauvage est beau ! (bien entendu !)

Si sauvage est doux,
Romantique, mais pas amoureux de moi...

Si sauvage est fort,
Electrique comme un baiser fougueux
A effet immédiat !

Oui j'aime que l'on m'embrasse,
Que par là même
L'on m'embrase,
Un baiser, creuse, sème,
Arrose une fleur de sa sève abondante :

Toucher, planter, pleuvoir en sa création
Ne peut la rendre que plus florissante.

J'ai trouvé l'entrée du rêve
Par ma réalité de femme libérée...

Il a raison "Alyo"* quand il dit que quarante ans
C'est l'âge de la quintessence érotique...
Je ne m'habille plus pour me déshabiller,
Je reste nue sous ma gabardine !

Pauley Perett le 16 avril 2013

Aussi longtemps que je vivrai




Il n’est plus belles pensée, mon amour,
Que celles que je t’adresse,
Mon esprit frivole et léger
Peut faire de moi un papillon, une déesse,

Il n’en reste pas moins
Epris de toi !

C’est à la prunelle de tes yeux
Et aux élans de ton cœur que je carbure,
Tu es l’ami le plus délicieux,
Mon complice, que la vie soit belle ou dure !

Il n’est de plus belle présence
Et de meilleurs délices que ma vie avec toi,
Tu me sublimes à coup de lueur de confiance
Et je remercie Dieu de m’avoir mis la foi !

Des êtres aussi ouverts et libre que nous,
Je n’en ai vu aucun, je te l’avoue,
Que je connaisse aussi bien et qui me reconnaissent partout !

Ma plume t’encensera toujours
Aussi longtemps que je vivrai,
Tu resteras cet unique amour
Que mon cœur couvre de bienfaits.

Il n’est de rêve plus réels
Que mon bonheur de t’aimer,
Comme de puiser dans le virtuel
Tout ce dont tu me témoignes depuis des années.

Avoir le béguin, fantasmer,
Donne un souffle de plus à ce que je ressens,
Les désirs ont tôt fait de m’affamer
Quand ils reviennent infiniment !

Je suis curieuse d’explorer
Et de voir encore du monde,
De ce qu’il me plaira d’adorer
Ou bien de trouver immonde !

Tu résideras à mes côtés
Comme témoin et allié de mes folies,
Si tu me redemandais, mon amour,de te réépouser,
Je redirais OUI !

Notre mariage est mon jardin d’Eden
Où, à la différence d’Eve,
Je croque dans toutes les pommes,
Qu’importe pour moi d’être païenne
Aux yeux des dieux, des pères et des nonnes,
Puisque pour avancer nous tenons les même rennes !

Peu m’importe les jugements d’autrui,
Mon équilibre me donne à penser
Que l’amour dure toute une vie
Quand il a, comme nous, de bons sujets !

Pauley Perett le 22 novembre 2012

Pour toi, mon amour...

Je vais revenir,
Dis-je,
J'n'ai pas le coeur lourd,
Je suis nostalgique...

J'ai bien des amis qui s'en rendent compte,
Et puis, le génie c'est pas lui, c'est toi, mon amour,
Qui lorsque je doute est là,
Lorsque je suis triste m'essuie les yeux et me serre fort contre son coeur,
Pour toi seul, mes sentiments brillent à aveugler,
Je suis ton délice, tu es mon aimé,
Celui qui n'chante pas mais qui parle si juste,
Toi qui me sourit et parfois cède à mes caprices,
Je ne crois pas en Dieu, mais en mes étoiles et plus fort encore qu'eux,
C'est en toi que j'ai cru avant de croire en moi,
Tu m'as donné cette force à nulle autre pareille de me rendre compte
A quel point je suis moi, je t'aime mon amour,
Et comme, toi aussi, tu m'aimes j'y crois pour toujours.
FOR EVER AND MORE... AND MORE ♥